Malgré les pressions, la présidente de la Commission toujours aussi opaque sur ses négociations avec les labos
Le refus de la Commission européenne de rendre publics les échanges de SMS entre la présidente et le patron de Pfizer, durant les négociations de contrats pour des vaccins, prouve l’urgence d’une réforme de l’accès aux documents publics. Il risque aussi d’alimenter les théories complotistes sur les vaccins.
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LesLes efforts groupés de journalistes, de militant·es d’ONG et de parlementaires depuis le printemps 2021, rejoints depuis vendredi par la médiatrice de l’UE, n’y ont toujours rien fait : personne ne sait si les messages échangés par textos entre Ursula von der Leyen, la présidente de la Commission européenne, et le patron de Pfizer, Albert Bourla, existent encore, ou ont été supprimés par les intéressé·es.