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Le « conseil de surveillance » de Facebook sous pression 

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Les dysfonctionnements de la modération du réseau social mis en évidence par les « Facebook Files » ont échappé à la supervision de la « cour suprême » de Facebook. L'institution, mise en place l'an dernier, se voulait un modèle pour la régulation des plateformes - un rôle qu'elle aura plus de mal à endosser.

Avec 2,85 milliards d'utilisateurs, Facebook est le premier réseau social mondial.
Avec 2,85 milliards d'utilisateurs, Facebook est le premier réseau social mondial. (Imago/Abaca)

Par Sébastien Dumoulin

Publié le 6 oct. 2021 à 18:20Mis à jour le 6 oct. 2021 à 18:55
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Les révélations faites par la lanceuse d'alerte et ancienne salariée de Facebook, Frances Haugen, n'ont pas secoué que le réseau social. Le « conseil de surveillance » de Facebook a lui aussi tremblé.

Cet organe indépendant, comparé par Mark Zuckerberg à une « cour suprême » interne, a été mis en place l'an dernier pour statuer en dernier ressort sur les problèmes de modération les plus ardus. Problème : les membres de cette instance supérieure ont découvert avec la publication des « Facebook Files » que la modération de Facebook empruntait des chemins baroques, dont elle n'avait pas connaissance.

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