Le « conseil de surveillance » de Facebook sous pression Contenu réservé aux abonnés
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Les dysfonctionnements de la modération du réseau social mis en évidence par les « Facebook Files » ont échappé à la supervision de la « cour suprême » de Facebook. L'institution, mise en place l'an dernier, se voulait un modèle pour la régulation des plateformes - un rôle qu'elle aura plus de mal à endosser.
Les révélations faites par la lanceuse d'alerte et ancienne salariée de Facebook, Frances Haugen, n'ont pas secoué que le réseau social. Le « conseil de surveillance » de Facebook a lui aussi tremblé.
Cet organe indépendant, comparé par Mark Zuckerberg à une « cour suprême » interne, a été mis en place l'an dernier pour statuer en dernier ressort sur les problèmes de modération les plus ardus. Problème : les membres de cette instance supérieure ont découvert avec la publication des « Facebook Files » que la modération de Facebook empruntait des chemins baroques, dont elle n'avait pas connaissance.
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